Après avoir écouté le long monologue de la kage en soupirant de soulagement, Toshiro regretta un peu son choix. Il était vraiment hésitant ce soir. Lorsque la kage termina, elle avait une voix mélancolique, tourmanté et triste. Afin de ne pas la faire souffrir d'avantage, Toshiro lui pris sa main et lui fit la bise. Afin de se justifier, il disa:
- A bientôt! Et encore merci!
Tout en lui ayant pris la main, il sentit qu'elle avait en effet très froid, soucieux de sa senté, il rajouta d'une voix presque neutre:
- Vous feriez mieux de rentrer!
Une fois qu'elle eu disparut. Toshiro remarquit que Yamanoto partait en direction de chez sa maison car Toshiro venait de le fusiller du regard. Cela n'était pas très étonnant car il venait de lui proposer son aide ce qu'il déteste. Marchant face au froid et constatant qu'une journée venait de s'achever, Toshiro ne tomba pas une seul fois. Toutefois, un de ses bandages venaient de tomber à son insu. En arrivant dans le quartier des shinobis, Yamanoto pris la direction d'une sorte de caserne. En entrant, Toshiro constata que c'est une sorte d'appartement dans cette portion la. Surement en mission ou de garde ou bien en train de récupérer. Yamanoto sorti les clefs puis entra dans ce qui ressemble a un petit salon. Salon peu décoré... Montrant qu'il venait juste d'emmenager. Le blessé le suivit et demanda:
- Ou sont les toilettes s'il te plait?
Evidement, l'épéiste n'attendit pas vraiment la réponse car son sang pouvait recouler d'un moment a l'autre. Connaissant un peu pres l'architecture d'un appartement dans une caserne, il y alla. Une fois dans la salle de bain, il rinça sa blessure aux bras et changit les deux bandages. Une fois certain que tout tiens bien, il retourna dans le salon s'installer pres d'un siege. Yamanoto était toujours la. Toshiro se demanda:
* Je me demande ce qu'il a de bon a boire? Naoko vas t'elle venir? M'en veux t'elle? M'a t'elle deja oublié?*
Décidant d'arreter de s'en faire et de vivre le moment présent, Toshiro s'exclama en plaisantant:
- Je te remercie de m'avoir sauvé de ses griffes. Je crois que je vais m'installer dans ce village, vous avez une kage tout a fait... euh ... compétante.
Le mot compétante n'était pas vraiment le mot auquel il pensait mais ses sentiments ne regardent que lui. Toshiro se mit alors a attendre ce qu'il avait a dire et surement aussi a demander.