Liberté [Pv. Shizuka Hanzaï]

Le vent caressait ma peau comme un doux satin tandis que la nuit étandait son rideau de noirceur sur les montagnes majestueuses de Kumogakure. La pleine lune illuminait le ciel constellé d'étoiles, se cachant parfois derrière de minces nuages. Au loin, les montagnes découpaient l'horizon encore teinté d'une lueur faible. Assise sur la falaise, mes cheveux voletant follement dans mon dos, j'écoutait le chant de la nuit. Le murmure du vent, la symphonie des oiseaux nocturnes, la douce voix de la lune qui chuchotait à mon oreille:

Liberté...Liberté...Liberté...

La merveilleuse mélopée de l'astre de la nuit qui chantait en choeur avec la nature sauvage, rien de plus que la pure et simple Liberté au grand ''L'', celle qui nous laisse vivre la vie pleinement,sans les chaînes de la promesse ou du destin. Mais surtout, la Liberté, c'est la liberté d'aimer, peut importe le reste, un amour sans fin pour ceux que l'on aime. La Liberté d'aimer, même si les autres se moquent de nous, même si il nous faudra en mourir, l'amour est la plus puissante des forces. La Liberté d'aimer, c'est la liberté de vivre. C'est la Liberté avec un grand ''L''.

[tout petit post,désolée,cest le mieux que je puisse faire :(]

[Tentative de RP à la première personne. Première fois. Pas ma faute les gens qui RP ainsi m'en donne l'envie.]

Laissant le vent s'évanouïr sur mes fins traits, j'enlaçais tranquillement la fraîcheur qui m'empêchait de dormir. Là sur cette colline à peine plus haute que le toit des maisons, j'étais assis, les yeux orientés vers la lumière des astres. Les lueurs de ma vie. J'embrassais comme on ne le pouvait cette chose si rare, mais pourtant si belle que l'on appelait silence. Elle était si précieuse, mais personne ne la respectait. Ce monde était-il tant injuste ? À un tel point que de tuer les plus belles choses du monde ? Sans doute. Depuis ma venue en tant que Raikage, je n'avais eu de pause et maintenant enfin, la plus belle nuit du monde me laissait prendre les ailes d'un petit repos bien mérité. Même si le sommeil ne venait pas, je prenais tout à la légère, fermant les yeux quand un nuage tramait mon film sur l'astrologie. Depuis ma toute petite enfance, je m'étais familiarisé à cette chose qui nous laissait seul pour réfléchir à tout et puis à rien. Ce ciel m'était si familier, mon refuge, voilà comment je le nommais. Cet abris, il est prospère, enchanteur et si délicieux. Je le déguste chaque fois que je peux. Basculant mes jambes dans le vide, j'avais les airs pensifs des bons poètes qui réflichissaient à toutes les questions de n'importe laquelle des facettes de la vie. Ces moments à moi, je les chérissais comme cela ne se pouvait. Être tranquille, c'était si... bien.

Je cessai de réfléchir lorsqu'un froid intense vint tout braver. Je me levai puis sautai de mon perchoir afin de rejoindre le village. Ne fut-il pas long que mes plans changèrent, les lumières allumées un peu partout, je n'osais pas les interrompre, encore moins me faire courir après. J'exécutai en quelques secondes un demi-tour puis me dirigeai vers les portes. Je n'avais pas besoin de dormir, seulement de me reposer. Je regardai derrière moi, pas pour voir mon village, mais plutôt la lune et ses étoiles. Magnifique, surtout les soirs de pleines lunes. Je retournai la tête pour faire face aux gardes de nuit. Sans questions, ils ouvrirent la porte et je pus sortir. L'instance qui suit, je me vis libre comme l'air, mais j'avais encore ce boulet au pied. Celui qui m'obligeait à ce village. Dans un déclic profond, les anbus refermèrent les portes une fois que je fus passé. Je regarda à gauche et puis à droite sans rien voir. Tout était si sombre, mais si doux et confortable. Je garda les yeux devant puis je rejoins rapidement une falaise que j'escalada et où je pris place.

Je m'étendis sur la terre, la nuque appuyée sur une roche et inspira profondèment en relâchant ce souffle d'un fort aisé. Ma respiration me revint ensuite. Chaque seconde, comme un boomerang, elle retrouvait toujours le corps de son parent. J'inhâlai toute la pureté de cette air puis je rivai, une nouvelle fois, mon regard vers la voile diaphane du crépuscule. Mes émeraudes se mirent à scintiller puis je commença à dissimuler des formes, comme si l'espace me parlait. J'entendis ensuite un chant doux et berçant qui me fit rêver. Le chant répétais toujours les mêmes paroles, il les scandait d'une façon merveilleuse qui faisait rêver plus d'un enfant. La mélodie m'entra en tête et n'en sorti plus. C'était ça la paix intérieur ? Si ce ne l'était pas, alors je n'avais jamais rien ressenti d'aussi réconfortant et aisant. Je pouvais entendre ce chant comme celui des chutes, il me rassurait tout autant. La voix merveilleuse me faisait rêver les meilleurs moments de ma vie, cette chanson, jamais je ne l'oublierais. On pouvait en être sûr. Autour de moi, l'obscurité était si dense que je savais si quelqu'un était là, caché dans l'ombre, mais c'était le dernier de mes soucis. J'étais bien dans ce calme emportant. Rien ne pouvait me déranger. C'était ça... la Liberté, avec un grand "L". Cette chose dont Dah' et Kuro-san m'avait parler pendant toute ma jeunesse. Cet objet rare que seul les plus sages pouvaient entendre. Elle m'avait trouvé si vite, mais jamais je ne l'oublierais. Et surtout, jamais je n'aurai été aussi bien. Je commença à fredonner l'air lorsque la mélopée s'éteint, remplacé par le sifflement du vent tout aussi seul. Comme un accompagnement, je poursuivis le coeur en rossignol. M'émouvant moi-même. Mes yeux s'humectèrent légèrement tellement la chorale était profonde, naïve et accueillante. Rien ne pouvait briser cette sérénade. Pas même l'aube. Je continuai, en n'élevant jamais la voix, à chanter.

La berceuse se termina toutefois lorsque le vent trouva le sommeil et que les étoiles ne m'accompagnèrent plus. Comme si cela avait durée seulement cinq minutes, je me relevai tout ébahi. Par surprise, je pus découvrir une silhouette dans l'ombre de la nuit, les bras à ses côtés, la mine haute. Elle était peut-être comme lui. Je m'approchai légèrement à côté d'elle, je ne parla pas et regarda plutôt avec la personne l'astre nocturne.

[HRP: Si je provoque pas assez, dit le moi, j'éditerai.]

Tard dans la nuit, alors que je n'étais que dans un demi-sommeil, une douce voix se joint à celle de l'astre lunaire, une voix inconnue qui pourtant m'attirai terriblement, une voix forte et chaleureuse, mais non moins tendre et émouvante. Cette voix...Je ne l'oublierai jamais. Une voix si fervente que je me joignit à elle dans une harmonie indéscriptible. Nous chantâmes jusqu'à l'aube, quand la lune céda sa place au soleil du matin.

Une douce brume et sa fraîche rosée couvraient encore le sol quand je le vis se relever, vacillant sur ses jambes. Intérieurement, je riai un peu de lui quand il me remarqua.

-C'est toujours comme ça au début, mais on s'habitue, dis-je en me relevant sur mes coudes.

Je fixai mes yeux violets dans les siens, d'un vert éclatant de jeunesse et de vigueur, mais teintés d'une intriguante attraction. Ses traits fins, ses cheveux d'encre et son corps musclé - malgré son allure ébahie - suscitèrent en moi une sorte de légère nausée, une envie irrépréssible de me jeter sur lui...Envie que je réprimai aussitôt en grimaçant intérieurement. Il continua de me fixer, l'air toujours aussi...stupide, quand je lui répondis:

-C'est donc la première fois que tu goûtes à la Liberté,à ce que je vois...

[HRP: encore une petite rép. :( ]

Je continuais de la regarder alors qu'elle aussi me regardais. Mes yeux croisaient ses yeux d'un violet merveilleux, me faisant pensé à l'amour des gens sincères que j'avais connu. Pourquoi ce sentiment me revnait-il maintenant alors que depuis que j'étais parti de chez Dah' je les avait oublié. Maintenant, je mordais dans le croustillant de son regard sincère et peut-être un peu rieur. J'ignorais tout de cette silhouette, je ne pouvait même pas discerné les couleurs de sa peau, de ses cheveux ou de son linge. Seul sa vue brillait comme je n'avais jamais vu. Elle illuminait encore plus le coin qu'une lumière bien posé aurait pu le faire. Seul ces deux améthystes suffisaient à me guider dans cette noirceur insolite. Malgré ce sentiment et cette vue magnifiques, je ne pouvais me retirer de la tête "peut-être m'a-t-elle entendu chanter...". Cette voix sincère qui avait résonné. C'était peut-être et non pas la lune. Quand la brise s'était brisée, avions-nous arrêter au même moment ? Ou étais-je devenu sourd ? Je préfèrais sans doute le premier choix, vu la personne que j'étais, mais vu le chant des oiseaux, je me trompais sans aucun doute.Je la considéra un moment, puis de mon pas maladroit, je passa pour un crétin. Au moment où je m'étais levé, l'aube venait, je ne reconnaissais encore que les yeux, mais le visage doux d'une Kunoichi apparut bien rapidement. Des cheveux bruns soyeux et tissés dans la laine de mai. Je continuai d'avancer vers elle. Lorsque je fus suffisament près elle me dit d'une voix jeune et réfléchis.

- C'est toujours comme ça la première fois.

Je la regardai, comme tétanisé. Elle m'avait entendu, maintenant c'était sûr et certain. J'avançai encore quelques pas, cette fois plus lent, je me surpris à sourire. J'ouvris d'abord grand les yeux. Le sourire ne s'effaça pas. Tout en continuant mon avancement non châlant, je commençais à dissimuler ses formes et son ligne blanc. Je ne connaissais pas cette femme. Elle n'était donc pas de Kumo. Je la fixai encore un moment et commença à chercher un bandeau. Je trouvai celui de Kiri accroché à sa ceinture. Je fus, en premier lieu, surpris de voir une Kunoichi de si loin être là, près de moi sur cette falaise qui me semblait, à première vue, tout près de Kumo. De ses yeux, je pouvais bien voir qu'elle se moquait légèrement de ma démarche. Et alors ! Je faisais ce que je voulais. Lorsque je fis à quelques pouces d'elle, le soleil était totalement apparu et la rosée mouillait le paysage. Une jolie mouille d'ailleurs. Peut-être était-ce elle qui mouillait mes yeux quelques minutes, voir quelques heures, plus tôt.Qu'en importait, je continua de dévisager la dame qui sans doute reparlerais. Elle s'était plutôt levé, aidée de ses coudes, et me faisait maintenant face. Je pouvais sentir son souffle froid dans mon coup alors que le mien faisait voler ses cheveux. Nos regards se croisaient comme deux lames, mais pas dans un sens de guerre. Incapable de supporté cet affrontement oculaire plus longtemps je levai les yeux et des mots vinrent s'élucider dans mes oreilles.

- C'est donc la première fois que tu goûtes à la Liberté à ce que je vois.

Quelle ingrâte elle faisait, me tutoyer, moi, l'un des cinq représentants du conseil des Kages. Une chance qu'elle ignorait à qui elle parlait. Quoi qu'il en soit, je baissai les yeux vers les siens et je fixai ses deux pupilles pendant un moment: le temps d'assimiler ses dires et de créer une réponse. Je souris d'abord en poussant une prodonde inspiration, on entendit ensuite ma voix calme et inexprissive chuchoter.

- Bien hélas oui. Il n'en tient pas qu'à moi que de sortir. Mes devoirs en sont plus importants, on compte sur moi là-bas.

Hémis-je en pointant vers Kumo. J'échappai un dernier souffle puis remontant la tête vers le ciel. Même si la nuit était dépassée, je n'en revenais pas. L'extérieur était si bon, je devenais blanc moi à languir dans ce bureau à l'atrocité de l'haleine d'un crapaud. Plus l'aube progressait, plus la vallée était belle vu de ce point. La Liberté, elle l'avait appelé comme ça elle aussi. Je n'avais donc pas mal réfléchis. Toutefois, j'avais toujours ce boulet au pied, celui qui me liait de force à mon village. Celui qui faisait de moi un vrai leader. Celui aussi qui me faisait aimer tous les shinobis et toutes les kunoichis de ma patrie. Je rebaissa les yeux vers elle, par politesse.

- C'est si bon... et si beau...

Lui dis-je d'un air relaxé, enchanté et en inhâlant une autre bonne bouffé de l'oxygène si délicieuse dans ce coin reculé et élevé du monde. Je souris à moi-même, ou plutôt aux cieux et je ne baissa plus le regrd pour lui parler. Du moins avant qu'elle ne me parle à son tour. Une chose était sûr, ce moment était précieux, merveilleux, à admirer, à priviliger et surtout... il était délicieux. Être avec une femme qui lui ressemblait de près ou de loin, ici seuls. Rien de plus beau. En plus du calme de la nature qui emballait le tout dans un sac de merveilles.

- C'est si bon... et si beau...

La brise qui fesait voleter mes cheveux - non, pas une brise, mais le souffle chaud de ce jeune homme, cette sensation au creux de mon être qui refusait obstinément d'être oubliée...Mais qu'étais-ce? Je n'avais jamais ressenti cela auparavant. C'était comme...quelque chose de complètement nouveau, d'étrange, mais non moins rassurant et...quelque peu...agaçant. Il releva les yeux au ciel, et sourit. Un sourire éclatant, un sourire magnifique. Je tendis une main que je posai sur son cou et me hissai lentement vers lui en murmurant:

-Si beau d'être libre d'aimer....

Sa simple vision, souriant ainsi dans la brume, fit naître en moi une flamme qui consuma ma raison. Je m'approchai doucement de lui, contemplant ses iris émeraude qui brillaient dans la rosée, et m'emparai de ses lèvres dans une étreinte passionée, sous les chauds rayons du soleil du matin, son corps contre le mien. Il n'y avait plus que lui, moi, et l'amour.

Plus rien ne pouvait briser ce moment passif qui donnait tout à reboire: les rivières, les océans, les lacs, TOUT ! Vraiment tout. J'avais envie de verser ces cours d'eau pour montrer le nouveau sentiment qui naîssait en moi. Une sorte d'étreinte qui prenait mon coeur de haut et l'assomait naïvement comme s'il n'avait rien vu venir. Ce sentiment ne faisait pas que serrer mon organe, mais aussi il envoyait une foule de frissons un peu partout et ma tête voyait quelque chose, quelque chose qui parraîssait irréel, mais qui pourtant était bien là devant moi... Ou plutôt sur moi. En effet, on était en contact l'un et l'autre. Elle avait mis ses mains à mon coup et s'était redressé à la pointe de ses pieds pour tiré les lèvres vers moi et les toucher d'un langoureux baiser d'amour. Je me laissais faire, j'étais charmé. Non pas par sa beauté extérieur, ma foi magnifique, mais bien par celle de son être. Calme... Elle était comme moi, d'un calme irréprochable. Du moins, je croyais, je ne la connaissais même pas. Même son nom m'était inconnu. Alors que nos lèvres se touchaient, je m'efforçais de l'observer. Même si tout le clair n'y était pas, je ressentais un truc étrange en moi qui en venait à m'énerver. Je continuai à la regarder jusqu'à ce que le baiser se taise enfin. Pas que j'étais tanné, même loin de là, seulement, j'avais quelque chose à lui dire. Quelque chose de plus important encore: une chose qui pouvait me concerner que moi comme elle.

- Si beau de pouvoir faire de soi, ce que l'on veut vraiment. Mais, sans vouloir disgrasser les bonnes fois, quel est le nom de cette dame là ? Celle juste devant moi sous mes yeux.

Lui dis-je lucratiquement. Je lui souris ensuite, laissant entrer dans mes yeux les touts premiers rayons de soleil qui commençaient tout à peine à parcer le nuage blanc autour de nous. Je souris ensuite tout en rougissant que trop, je venais de poser mes mains sur ses hanches gracieuses où l'harmonie du corps humain baignait. J'entrai mes yeux dans les siens et je vis naître le sentiment qui avait été semé plus tôt. Celui dont j'ignorais le nom, mais qui était si connu. Celui qui unissait les couples à leur mariage. Voilà de quel sentiment je parlais. Vous me comprendrez que je n'avais jamais ressenti une telle chose, mais c'était fort agréable et j'adorais cela. Quoi qu'il en soit, je continuais de sourire, comme un idiot, j'affichais le plus beau de mes sourires. Celui que j'avais affiché le jour où Dah' m'avait adopté. Celui que j'avais fait quand j'avais seulement quelques mois et que j'étais encore dans la pouponnière de l'hôpital kumoïenne. De mon regard vert je laissai tomber ma crainte de me retrouver dans un public et avant qu'elle ne me réponde je lui arrachai un second baiser qui fut tout aussi passionné. Je L'embrassai avec toutes les pulsions affectueuses qui me passèrent en tête. J'espèrais que ce moment de Liberté ne se termine jamais. Seulement, c'était impossible.

[HRP: Désolé, un peu court]

Je sentis ses mains se poser sur mes hanches doucement, pourtant son regard brûlait de cette sensation étrange qui nous donnait des ailes.

- Si beau de pouvoir faire de soi, ce que l'on veut vraiment. Mais, sans vouloir disgrasser les bonnes fois, quel est le nom de cette dame là ? Celle juste devant moi sous mes yeux.

Ignorant complètement à qui je m'adressait, je l'enlacai passionnément:

-Je suis tienne...

Je pressai mon corps contre le sien, nos yeux illuminés non pas par le soleil naissant, mais par les flammes de désir qui brûlaient en nous quand je l'embrassai de nouveau dans un feu d'amour qui consumait le reste du monde pour ne laisser que nous. Nous n'existions plus que l'un pour l'autre, se moquant des lois et des autres, seuls dans la nature sauvage, balayés par un vent qui faisait voler nos cheveux dans le ciel. Les nuages semblèrent s'écarter pour laisser un chaud rayon de soleil éclairer la voie de nos destins. Je sus alors que nous étions faits l'un pour l'autre, seulement, après un moment je me dis ''Mais qui est cet homme?'', et je m'écartai de son étreinte pour l'observer. Attentivement, je détaillai ses vêtements et je fus si choquée que je le repoussai presque violemment, si troublée que je ne pus même prononcer ma phrase:

-Mais...Mais...Tu...Non,non, vous...Raikage?!

C'était si bon d'être dans ses bras, de goûter ses lèvres et de vivre sa passion, et voilà que tout s'écroulait autour de moi:

Cet homme était le Raikage!